J-at-chaperon: bool question = (to)?(be):(!be);
J-at-chaperon: bool question = (to)?(be):(!be);
C’est du 5h4k35p3423 ?
D’autant plus que la quote exacte est:
“To be or not to be that, is the question”(ĂȘtre ou ne pas ĂȘtre ceci, est la question)
Et non pas:
“To be or not to be, that is the question”(ĂȘtre ou ne pas ĂȘtre, tel est la question)
Ce qui n’a pas vraiment la mĂȘme traduction. Fausses croyances quand tu nous tiens…
ComplĂštement faux. Qui parlait de fausses croyances ?
La traduction de cette condition ternaire est “to be or to not be”.
(question)?(to be):(!to be)
Au revoir!
Xzion a tué Hamlet :/
Non non c’est bien “To ne or ont tout ne, that is the auestion”
Toubib or not toubib ?
Bool to be alive, to be alive
Bien essayĂ©, mais ce n’est pas “To be or not to not be” mais bien “To be or not to be”, ça donnerait donc quel que chose de bien plus simple du genre :
bool question = toBe || !toBe;
Ce qui nous permet de dire que la question est telle que la rĂ©ponse est toujours : “vrai”
Comme quoi, si Hamlet avait était développeur, il aurait eu nettement moins de problÚmes existentiels !
Malheureusement, lorsque quelqu’un poste un commentaire qui va Ă l’encontre de la croyance populaire, bien trop de personnes le plussoient sans se poser de question.
Il suffit pourtant d’une courte recherche pour savoir que la phrase juste est bien “to be or not to be, that is the question.”
Lire cette quite le jour du 400eme anniversaire de la mort de Shakespeare et juste magnifique
La réponse de Xzion est fausse.
En réalité, la premiÚre version de Chaquespeuare était celle-ci :
“To be, or not to be, Ay there’s the point”
Ce qui est bien une version archaĂŻque de dire “To be, or not to be, that is the question”.
Xzion, j’ai le texte original sous les yeux. Selon les version ça fait :
“To be, or not to be, I there’s a point” 1603
“To be, or not to be, that is the queftion” 1604
“To be, or not to be, that is the Queftion” 1623
Je sais pas oĂč t’as vu ton truc, mais le texte on le connais, suffit de le lire pour voir que tu dis de la merde, c’est la premiĂšre phrase !