* [22:56]
Hiro : Wesh
Hiro : …
* [00:19]
Hiro : Yo Yo Yo
Hiro : vent vent vent…
Hiro : :v
Hiro : :v
Hiro : :v
* [02:54]
JohnnyYuge : Pour la peine je te raconte l’histoire. (j’annonce, c’est jppesque)
JohnnyYuge : Celle du mec qui est sorti de chez lui sans ses clés
JohnnyYuge : Avec une porte auto fermante…
JohnnyYuge : Dont le colloc annonce rentrer vers 21h et qui usuellement se couche vers minuit.
JohnnyYuge : Ă 23h l’homme arrive devant sa porte, heureux de retrouver ce foyer dont il s’Ă©tait malencontreusement privĂ©. Coups de fils, sonnette d’entrĂ©e, l’homme ne repond pas.
JohnnyYuge : Le mec suppose que son collocataire festoyait et lui laisse un message “Je t’attends sur le pas de porte”.
Hiro : Il t’attendait nu sur ton lit !
JohnnyYuge : (Chut !)
JohnnyYuge : Voyant qu’une heure plus tard celui ci n’Ă©tait pas rentrĂ© et que passer la nuit dehors est plutĂŽt Ă©loignĂ© de sa zone de confort, il escalade le premier Ă©tage pour accĂ©der au balcon.
JohnnyYuge : Regard, Ă travers la fenĂȘtre.
JohnnyYuge : Stupeur.
JohnnyYuge : Le colloc’ dort tel un enfant de 2 ans aprĂšs son biberon de minuit.
JohnnyYuge : S’en suit une sĂ©rie de techniques dĂ©sespĂ©rĂ©es afin d’attirer l’attention, appels, tambourinage Ă la fenĂȘtre, cri. Le genre d’appels que quelques personnes 200mĂštres plus loin ont entendu, mais leur aide Ă©tait tout bonnement inadaptĂ©e au sommeil de plomb du colloc’.
JohnnyYuge : 1h plus tard, toujours pas de mouvement.
Hiro : Omg
JohnnyYuge : 1h00. L’homme vaincu, s’apprĂȘte Ă passer la nuit sur le balcon. Et s’allonge confortablement sur le sols dur et froid couvert des poussiĂšres de la rue.
JohnnyYuge : 3h. Mouvements dans l’appartement, lumiĂšres qui s’allument. La dĂ©livrance arrive enfin ! On remercie allĂšgrement le rhume qui a amenĂ© le collocataire Ă chercher un mouchoir dans la cuisine offrant enfin la possibilitĂ© de contact !
Hiro : VRAIMENT ? XD
Hiro : jpp
JohnnyYuge : AprĂšs avoir passĂ© 4h dehors l’homme rejoint enfin sa couche, Ă©pprouvĂ© mentalement, mais dĂ©sormais serein. Il sait dĂ©sormais qu’il pourra toujours compter sur son colloc…avec un peu de dĂ©lai.
Hiro : Un peu :v
Hiro : Quelle épopée
Hiro : La clef du bonheur, aurait été de savoir crocheter la serrure :v
* [15:20]
JohnnyYuge : Tu connais l’histoire du mec qui a oubliĂ© ses clĂ©s ?
13 rĂ©ponses Ă “đ°đ Sortir sans ses clefs”
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Non. DĂ©solĂ© mais non. La premiĂšre fois c’est un mec qui a oubliĂ© ses clĂ©s. La fois suivante c’est un idiot qui ne retient pas une leçon qui pourtant lui a coĂ»tĂ© cher.
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jpp
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Here we go again
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Mais comment… ah laisse tomber, raconte l’histoire va.
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Contre ça, y a au moins 4 méthodes:
– sangle pour porte-badge, attachĂ©e au passant de ceinture (ou autour du cou, mais c’est un coup Ă l’oublier, alors que le futal…)
– porte-badge avec enrouleur, comme les laisses Ă chien mais avec 80cm de fil mĂ©tallique (celui que j’utilise fait mousqueton et clips, en gros il s’attache n’importe oĂč)
– Un double dans la poche du portefeuille qui sert Ă rien (Ă cotĂ© de la capote pĂ©rimĂ©e depuis 15 ans)
– un cerveau fonctionnel (c’est con, ils en vendent pas sur ebay)Et comme disait un ancien prof de je-sais-plus-quoi-de-toute-façon-il-doit-ĂȘtre-mort-depuis-le-temps, “Errare humanum est, perseverare diabolicum” (l’erreur est humaine, persĂ©vĂ©rer [dans son erreur] est diabolique) …mĂȘme si je suis pas sur que le diable arrivent Ă se foirer autant en moins de 24h
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C’est le genre d’histoire qui passe Ă la radio ça non ?
(comprendra qui voudra) -
“J’ai ma chemise mais c’est mou…”
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Mais du coup j’ai pas compris… C’est Jean Pierre Papin ou Jean Pierre Pernaut qui a oubliĂ© ses clĂ©s ?
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tu connais l’histoire du mec qui s’est trompĂ© de balcon?
non?il a fini en garde Ă vue đ
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Pauvre souf incompris, qui lui avait dĂ©notĂ© justement qu’on Ă©tait censĂ©s ne plus en pouvoir…
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Oh mais j’la connais celle-lĂ , c’est pas celle oĂč le type dit : “dis-donc, tu manques pas de toupet !”
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Quel rapport avec JPP ?
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-Mec.. Tu fais exprĂšs ?
-Non..
-. . . Bon, bah espĂšre qu’il dort pas cette fois
