Favoris de Kitsunedu11
<Filipe> T'en mets du temps pour répondre...
<Alex> Ouais excuse, je suis sur l'ancien PC et ca lag pas mal
<Filipe> Sur l'ancien PC? Il a quoi le tiens?
<Alex> Tu me croiras jamais
<Filipe> Dis toujours...
<Alex> J'étais sur mon lit, en train de lire tranquillement, quand je vois mon chat arriver dans la chambre
<Alex> Il marche jusqu'aux rideaux, et commence à y grimper
<Alex> Etant donné l'ancienneté des rideaux, je l'ai laissé faire, curieux de voir ce qu'il allait faire une fois en haut.
<Alex> C'est là qu'il arrive au somment, pose ses pattes sur le plafond, et commence à y marcher en se retenant avec ses griffes.
<Filipe> oO
<Alex> J'étais ébahis, mort de rire
<Alex> Il continue a marcher au plafond, par dessus les meubles...
<Alex> Jusqu'au moment ou il arrive au dessus de mon ordi portable, et se laisse tomber dessus... CRACK
<Alex> Et il marche plus...
<Filipe> xD <Dehell> Il y a des choses qui, de quelques manières que ce soit, ne trouvent pas d’explication. Le goût du fromage à raclette, par exemple, couplé à une pomme de terre enroulée d’une tranche de saucisson, c’est fichtrement bon. Sur ce point, je pense que personne ne devrait me contredire. Pourquoi, alors, pourquoi doit-on manger des raclettes uniquement en période de fêtes ? Pourquoi diable les raclettes ont généralement lieu soit en montagne, soit en Décembre ? Quels ont été les évènements parvenus sur Terre ou dans l’Univers qui font que lorsqu’une bouche sage propose une raclette, il y ai entre 80 et 97% de chances qu’on lui réponde « Oh, c’est pas vraiment le moment ». Il y aurait donc un point du continuum espace-temps, une fracture sur la ligne temporelle plus propice à la dégustation de raclettes. Comment le connaissons-nous ? Par convention ? Il y aurait eu, à un moment donné dans un temps lointain, des types en blouse blanche avec les cheveux ébouriffés et de grosses lunettes, résolvant de complexes équations dont le but était, à terme, de définir à quel moment la raclette est-elle plus profitable ? Ou sommes-nous naturellement conditionnés à n’apprécier pleinement ce met magnifique qu’est la raclette ? Avons-nous, profondément encré dans notre corps, une réticence à manger de la raclette hors de la période des fêtes, une sorte d’instinct de survie ? Si tel était le cas, il en découlerait une affirmation, paraissant au premier abord aussi stupide qu’effrayante : manger une raclette à n’importe quel moment peut avoir des effets non estimés voire dangereux.
* Dehell est totalement sobre