Favoris de sarah89
9125 : J'étais à l'hopital...
K-rosse : T'as fait quoi ?
9125 : Ben rien, j'me suis fait agresser par un clodo.
9125 : Heureusement y avait 2 keuf à côté
9125 : Du coup comme je saignais du crâne et que j'avais mal a la nuque, ils ont fait venir les pompelard
9125 : Qui eux-même ont fait venir le Samu parce que j'avais les pupilles en mydriase ^^
K-rosse : En quoi ?
9125 : Tu sais que le temps que je te réponde, google serait allé + vite ?
K-rosse : Tu sais que le temps que tu m'emmerdes, répondre serait allé plus vite !
9125 : Pupille ultra dilaté. Parfois ça montre un problème nerveux, là j'étais juste défoncé mais vu que y avait le flic j'ai fermé ma gueule :S
9125 : Enfin, nous voilà dans l'ambulance : Un pompier, une toubib, une infirmière, un flic, et enfin moi. Du coup je me dit "Ca en fait du monde"
9125 : Et je fait doucement "Lala lala lala"
K-rosse : Mec, sans le son c'est pas très utile de me dire ça.
9125 : Direct, l'infirmière qui dit "Au fond de cette boîte..."
9125 : Et là, on est 5 à reprendre : "CHANTENT LES SARDINES, CHANTENT LES SARDINES !! A QU'EST-CE QU'ON EST SERRÉS, AU FOND DE CETTE BOÎTE !" :D <Plump> J'ai une théorie selon laquelle il existerait une corrélation entre la longueur d'une phrase d'un chat (définie par le nombre de caractères employés mais aussi et surtout par la complexité syntaxique, le niveau de vocabulaire et la justesse orthographique de celle-ci) et la désobligeance du ou des commentaires suivants, selon un lien de proportionalité directe, voire d'une fonction affine ou d'un polynome de degré supérieur, dont les paramêtres dépendent de la situation. Le corrollaire stipulerait que plus ladite phrase est profonde et donc intrinsèquement passionnée, plus les commentaires suivants tendront à être simplistes, superficiels, vulgaires et désuets. Néanmoins il me reste à valider ma théorie en m'appuyant sur une série d'expériences, tirées de situations un tant soit peu représentatives, et que je m'apprête à réaliser.
<Fizz42> Oo
<K4r1m> kékidi ?
<Mich> Kamoulox !!!!
<Zaaa> perso j'ai arreté de lire a "théorie"
<blabla> après la moquette de ta chambre t'a attaqué le lino du salon, toi...
<Plump> :)
<Plump> A moi le nobel ! \o/ Messie10 : Salut tout le monde, j'ai un ptit problème à vous faire part
Messie10 : Je suis en cité u et il ya une voisine qui m'intéresse beaucoup, mais je sais pas comment l'aborder...
Messie10 : Je suis coincé...
Susje : Bah, engage la conversation, cherche à maintenir le contact ;)
Mot-lière : "Bonjour, tu t'appelle comment ?... Ah, c'est un joli nom, MOI C4EST Bidule, je suis dans la chambre 307 ?... Et sinon, tu es dans quel UFR ?..." ;)
Susje : Un peu trop direct non ?
Niktoit : Tu lui di quel es mignone
Mot-lière : Beuh non ;)
Mot-lière : Mouais, ça par contre ça peut moins marcher !
Niktoit : g pécho plein de fois comme ça !
Susje : Euh...
Neige-Blanche : Comment aborder les gens en général ... J'ai l'impression que c'est le pb de bcp de monde.
Neige-Blanche : Moi je suis une ancienne timide.
Neige-Blanche : J'étais la timide qui ne parle pas, qui n'a rien à dire, qui N'OSE PAS.
Neige-Blanche : Ensuite j'ai un peu travaillé dans des boutiques entant que vendeuse, j'ai été hôtesse d'accueil.
Neige-Blanche : + 1000 pour le décoinçage, j'avoues.
Neige-Blanche : Mais en entreprise, je persistais à être timide, réservée.
Neige-Blanche : Les gens étaient plus intelligents que moi, avaient plus de choses à dire, et de surcroit des choses plus intéressantes.
Neige-Blanche : Seulement voila. Un jour, je me suis rendue compte que ces gens intéressants s'appuyaient beaucoup sur moi pour se faire valoir.
Neige-Blanche : Que j'étais de plus en plus en position de "Dindon de la farce" que ces gens étaient un peu cons, quand même.
Neige-Blanche : Qu'en analysant bien leurs discours, j'avais des idées aussi valables que les leurs.
Neige-Blanche : Puis un jour, la boutade de trop.
Neige-Blanche : Mon boss très intelligent annonce à la cantonade que le rouge de mon chemisier ne va pas avec le rouge de mon rouge à lèvres.
Neige-Blanche : Il ne riait pas.
Neige-Blanche : Moi non plus.
Neige-Blanche : J'ai donc placer que je m'en lavais les mains, le coeur timide et battant.
Neige-Blanche : Puis, j'ai de plus en plus dit le fond de ma pensée, donner mon avis très souvent contraire sur les travaux en cours.
Neige-Blanche : Je n'étais plus la gentille collègue timide mais la collègue au fort tempérament, celle qui fait Fuck.
Neige-Blanche : Ca s'est généralisé au reste de ma vie, et depuis ça va.
Neige-Blanche : J'ai envie de m'intégrer ? Je m'intègre partout.
Neige-Blanche : Je ne suis culturellement pas au niveau de mes interlocuteurs ? Je m'intéresse à eux et apprends d'eux.
Neige-Blanche : Le niveau de mon voisin est au ras des pâquerettes ? Je le suis.
Neige-Blanche : J'ai eu affaire il y a 15 jours à un groupe de personnes assez fermé, je n'étais pas motivée pour les aborder, mais j'ai fait l'effort de m'imposer dans la converse... "Cette plaquette là ? Ah oui elle est très bien élaborée !"
Neige-Blanche : Le regard franc mais pas insistant, le sourire, sont le début d'une intégration.
Neige-Blanche : En Amour c'est idem
Neige-Blanche : Pas besoin de grandes phrases pensées à l'avance
Neige-Blanche : Un sourire, un regard, un "Salut ça va ?" Et hop tu poursuis ton chemin sans attendre la réponse.
Neige-Blanche : Le lendemain, quand la personne te revoit, elle te dit Bonjour d'elle-même.
Neige-Blanche : Bon, je vous souhaite bonne soirée, je vais me faire une tisane, ça fait du bien de lâcher ça...
* Neige-Blanche has disconnect
Messie10 : ...
Messie10 : C'est ma nouvelle déesse