Favoris de Fuyou Kaede
Sabrina : Dis moi le premier mot non juridique qui te passe par la tête. Sans réfléchir !
Sabrina : Pastèque
Chmartin : Arbre
Sabrina : Juliette
Chmartin : Castor
Sabrina : Blanchisserie
Chmartin : Barbare
Sabrina : Locomotive
Chmartin : Poussin.
Sabrina : Haha ! Maintenant on écrit une histoire avec ces éléments
Sabrina : Près d'un champ de pastèques ...
Chmartin : Il y avait un arbre solitaire, penché vers le sol.
Sabrina : Passant par là, Juliette ne pu s'empêcher d'être attendrie par cette triste créature
Chmartin : Son regard fut toutefois attiré par une petite créature qui troublait l'immobilité de l'horizon. Non, ce n'était pas un hobbit.
Sabrina : C'était un Castor ! Un petit castor arborant avec fierté sa petite chemise bleue à carreaux et ses nouveaux souliers verts.
Chmartin : En effet, sa mère travaillait à la blanchisserie du quartier, et jamais elle ne laissait son fils sortir de la maison avec des habits négligés.
Sabrina : Juliette demande au petit Castor : " Pourquoi cet arbre est il si triste ? Il doit avoir connu une bien malencontreuse aventure pour être si abattu "
Chmartin : Le castor, effrayé par la voix horrible de Juliette prit la fuite.
Sabrina : Juliette se saisit donc de sa hache ( une hache de poche qu'elle emporte toujours avec elle dans son sac à main ) et court après le petit castor malpoli, telle une barbare allant à l'assaut de ses adversaires !
Chmartin : Le castor, pris de panique en sentant la salive enragée de Juliette lui gicler dans le dos alors qu'elle respirait comme un buffle blessé, se jeta sous une locomotive.
Sabrina : Arrivé sur les lieux du drame, Sergent poussin , policier de son état dit " Pauvre castor, on peut dire que la locomotive lui a fait ... Barrage !"
Chmartin : Ahahah quelle belle histoire
Sabrina : Je pense qu'on devrait définitivement abandonner l'idée d'écrire un livre pour enfant ensemble cela dit ... Elouan: Qui n'a jamais dit, en regardant son aquarium : "mais qu'est-ce qu'il doivent se faire chier à dix dans un espace si petit !"
Elouan: Mais on oublie que les poissons se déplacent dans les trois dimensions. Pas nous. Alors, les poissons sont-ils vraiment malheureux ?
Elouan: Les dimensions moyennes d'un poisson sont de 2 cm sur 1,5 cm pour 0,5 cm d'épaisseur environ. Ça fait environ 0,001 dm^3 de volume. Donc, dans un aquarium de 60 L, les poissons peuvent vivre dans un volume 60 000 fois supérieur au leur. Et nous ?
Elouan: Lorsque l'on a les pieds sur le sol, l'aire que l'on occupe est de 44,5 cm sur 20 cm, soit 0,089 m^2. Si on avait autant d'espace que les poissons, cela nous ferait vivre dans un appartement de 55 étages de haut.
Elouan: Aimeriez-vous vivre à dix dans un appartement de 55 étages ? Alors, je suggère que l'on arrête de plaindre les poissons.
Felix: Tout pour ne pas réviser, c'est ça ? Dawed : En fait, je vais t'expliquer par une métaphore de chantier, parce qu'en parlant informatique, tu vas pas piger. C’est comme si on me disait simplement : « il va falloir que tu construise une maison », comme si c’était un truc hyper facile à faire. On me donne le nom d’un collègue à qui demander de l’aide et tout content, je vais lui demander de m’aider à construire la maison. La collègue me répond que la maison existe déjà et que le principal problème est de déverrouiller la porte d’entrée pour que les gens entrent. Moi j’ai un doute : parle-t-on bien de la même maison ? Je vais voir mon chef qui me confirme que oui c’est bien celle là ( pourquoi m’a-t-il demandé d’en construire une ??) et que le problème est effectivement de la déverrouiller.
Paulina : Au pire tu rentres par une fenêtre, non ?
Dawed : Non. Je reviens voir ma première collègue qui me dit que pour déverrouiller la maison, il faut appeler un autre mec pour s’assurer que les clés sont bien chez le serrurier numéro 1 et pas chez le serrurier numéro 2, car le serrurier numéro 2 a trop de pouvoir et il ne faut pas le déranger.
Paulina : Ha ...
Dawed : Pour ça, il faut appeler un chef de chantier qui connait les deux mais qui n’y comprend rien. Une fois que le mec a bien compris la demande, je découvre qu’en fait, pour déverrouiller la maison, il faut que mon chef me donne dès le départ de l’huile pour graisser les gonds . L’ouverture dépend donc de lui mais c’est marrant, il avait oublié de le préciser quand il m'a donné ses instructions
Paulina : :/
Dawed : Donc au final, je suis debout devant ma maison verrouillée et j’attends. Et je ne sais pas quoi faire à part faire des blagues de cul avec les autres ouvriers
Paulina : Ca c'est pour sous-entendre que tu vas sur Youporn au travail ?
Dawed : Roooo Poutrelle : Bon, je réexplique pour ceux qui étaient absents
Jojou : préparez le popcorn, ça va etre épique :')
Poutrelle : c'était un samedi comme un autre, ma mère m'avait demandé d'aller acheter du café (très important pour la suite de l'histoire, ce café) à Monoprix (lieux du drame à venir) avec une carte de crédit bien précise (à l'origine dudit drame). Je prends le café (dernière boite du rayon), rejoins les caisses et choisis de passer à la caisse AUTOMATIQUE -choix décisif pour la suite de l'histoire, comme vous allez vous-memes le voir. Jusqu'ici, tout le monde comprend ?
Lilith : yep
Quartz : pareil
Jojou : tu peux continuer
Poutrelle : C'est juste après avoir scanné ladite boite de café que la première partie du drame est survenue : je passe ma carte, compose le code, attend un peu et là... rien. Le café reste affiché à l'écran de la caisse alors que je l'ai, de mon propre avis, déjà payé. Donc j'attends, puis me dis que ça doit etre un bug et m'apprete à quitter le magasin lorsqu'une caissière m'arrete en me disant que ma carte n'est pas passée.
Poutrelle : Très sympa, elle m'explique que ça n'a pas fonctionné, que la carte doit etre à sec et que ce n'est pas grave, bref, une personne ma foi très pédaguogue et gentille. Je retourne chez moi, un peu venere quand meme, et ma mère me file sa CB pour que j'y retourne - c'est qu'elle y tient, à son café - avec pour ordre de me le ramener, ainsi que de la Javel. Je cours jusqu'à Monoprix, donc, et là, deuxième partie du drame : MON CAFE S'EST FAIT KIDNAPPE !!! PLUS LA ! Y EN A PLUS !!!
Quartz : :O
Lilith : violent
Jojou : je pleure toujours à cette partie-là de l'histoire
Poutrelle : Hyper venere, je m'en vais aux caisses avec seulement de la Javel, et me dis que je vais laisser les caisses automatiques pour le moment pour plutot me tourner vers la compagnie humaine et o combien chaleureuse des hotesses de caisse. C'est à ce moment précis que la troisième partie du drame survient : la caissière sur qui je tombe est une putain de serial killeuse en puissance, Evil-Caissière en personne, et elle me traite ni plus ni moins de voleuse après m'avoir reprochée d'avoir été sur le point de partir sans payer et en laissant l'écran de la caisse automatique bloqué - ce qui n'était pas de ma faute. Choquée, je lui dis que c'est une méprise, que je n'avais pas compris ce qu'il se passait et que je pensais juste que ça allait se remettre tout seul après mon départ, et cette conne en profite pour réattaquer en disant que je viens d'avouer que je comptais partir sans payer. Elle a commencé à gueuler, et t'as le vigile qui s'est ramené pour voir ce qui se passait, elle lui a dit que j'étais une voleuse et le mec a demandé à voir mon sac, dans lequel se trouvait TOUJOURS la Javel, que je n'avais pas eu le temps de faire encaisser pour le moment.
Poutrelle : Là-dessus, t'as une autre caissière qui a prise ma défense, suivie de deux clients, mais Evil-Caissière avait elle aussi ses alliés, en l'occurrence le vigile, une collègue et le boucher du Monoprix. Bref, la Troisième Guerre Mondiale était enclenchée, et moi je me demandais comment j'allais me sortir de là.
Quartz : et finalement ??
Poutrelle : Ben j'ai fini au commissariat
Lilith : Evil-Caissière a porté plainte contre toi ? :O
Poutrelle : contre moi, non. Mais contre ma mère venue me chercher au magasin et la paire de gifles qu'elle lui a mise dans la gueule, oui.
Jojou : j'aime ta mère, Poutrelle x) Max Imus : Mec...
Leo Pold : Yop ?
Max Imus : Ma famille est juste une putain de guilde !
Leo Pold : ???
Max Imus : Je m'explique.
Max Imus : Mon père, c'est un vrai farmeur. Il bash l'instance HL "Travail" pour permettre à mon frère et moi d'acheter du bon stuff.
Max Imus : Ma mère, c'est la Maître de Guilde, elle coordonne tout et nous fait faire des quêtes annexe pour xp genre "Tennis", "Promenner le chien", "vider le lave vaiselle".
Max Imus : Mon frère, c'est un putain de tank. Il agro les boss/prof, il bourrine comme un porc, et il se prend un max de dégâts.
Leo Pold : Et toi t'es un Kevin qui gueule en disant qu'il va changer de guilde, qui le fait jamais, et qui en branle pas une \o/
Max Imus : ...
Max Imus : connard.