<tobi> Il nous faut ce costume!
<b0ss> Faut que je branle ma mère…
<tobi> Euh… Oo
<b0ss> *branche
<tobi> Pour confondre CH et L, tu devais vraiment penser à quelque chose de malsein…
<tobi> malsain
<b0ss> Je te retourne le compliment.
<tobi> Il nous faut ce costume!
<b0ss> Faut que je branle ma mère…
<tobi> Euh… Oo
<b0ss> *branche
<tobi> Pour confondre CH et L, tu devais vraiment penser à quelque chose de malsein…
<tobi> malsain
<b0ss> Je te retourne le compliment.
Oh les cons
Ils sexepriment de façon très vulvegaire !
Ça s’a-cul-mule. J’en reste coït. C’est ce qu’on appelle une resucée. Ils sont à deux doigts de la catastrophe, au point que j’ai paniqué. (Ok j’arrête, c’est la débandade)
Si vous voulez mon avis c’est pas le compliment qui lui retourne…
Il n’y a que moi que le ‘Faut que je branche ma mère…’ choque tout autant ?
Ils écrivent trop bite
Monologue du brigadier (le)
Bittes-moi, Pandor -Oh !
Vous êtes bien vaginal, ce matin.
Où allez-vous si pédérastement,
En testiculant de la sorte ?
– Bitte, Bitte, le tampax, mon Capitaine !
Je pars pour ma sperme menstruelle.
Je m’en vais sur les foutrifications,
Sur la bitte Montmartre,
On y jouit d’un point de vulve,
Particulièrement clitoresque,
Sur les copulations laborieuses,
Puis j’irai sur les verges fleuries de la Seine,
Où se déroulent actuellement les fêtes véneriennes.
Et j’irai à travers les chancres fleuris,
Vers les putes Chaumont,
Voir les jeunes filles qui jouent,
Au pénis avec leurs craquettes.
– Bittes moi, Pandor ?
Enculeur, comptez-vous rentrer,
Car demain ce sont les érections !
Ben ! J’accrocherai le dernier vagin de l’automatrice,
Et je serai là sur les couilles de baiseur, baiseur et demi,
Si je n’ai pas trou du cul passion !
– Eh bien, bandez bien, Pandor !
Merci Chef.
Ça choque que moi qu’il veule BRANCHER sa mère? Genre elle était sous assistance respiratoire, il l’a débranchée, tapé son message et maintenant il veut la rebrancher? Ou alors sa mère est un ordinateur.
<le compliment > fait toi plaiz’ …
Une des meilleures.