Guillaume : Quand tu commences ton taff avec ton chef des ventes qui met Didier Super Ă fond dans le magasin, et du François PĂ©russe toute la matinĂ©e… Tu sais que tu vas passer une bonne journĂ©e !
Guillaume : Quand tu commences ton taff avec ton chef des ventes qui met Didier Super Ă fond dans le magasin, et du François PĂ©russe toute la matinĂ©e… Tu sais que tu vas passer une bonne journĂ©e !
Quand tu pars faire 2 mois d’erasmus et que le rĂ©veil matin de ton pote c’est Femme Like You qu’il gueule Ă 6h30, tu sais que tu vas passer un bon sĂ©jour
– Vous avez dĂ©jĂ travaillĂ© dans un salon funĂ©raire ?
– Uuuh non
Y’en a des bien !!!
“Toute la matinĂ©e” En gros il lui a fallu la moitiĂ© de la journĂ©e pour se rendre compte que l’autre moitiĂ© serait bonne
Cette quote doit amener à des citations des 2 artistes en commentaires. Ne connaissant rien de Didier Super, je vais me contenter de François Perusse :
“Elle m’aime, je l’aime, c’est fantastique
Demain, je lâemmĂšnerai chez Prisunic
Ensuite on mangera un bon burger
Et on ira repeindre le vélo de sa soeur
Je la couvrirais de dentelle
Je lui enverrais des petits coucous sur Minitel
Et aprĂšs, on vivra heureux
Et voilĂ notre vie Ă deux !
Laylay, fay, lageda falgada hiho hiho ! Foudoulagedic Ducdik tagatouip !Chou, Choubedibidi sh’tabidou de koita, shabidoudi detouicha ! Chabedoubedou bededoubeshtedou bededoubeshtededoubedou bededoubeshtededoubedou !Chabedoubedou Lakida twil, deloutwiti tibidi di tiptiptip tibiladintoui…”
– Bonsoir ! Bonsoir Ă tous, Ă toutes, bonsoir M. Pivot !
– Bonsoir.
– Votre dictĂ©e de l’an dernier vous a laissĂ© perplexe, quant au taux d’Ă©chec.
– Oui c’est catastrophique !
– Oui.
– Je ne peux m’expliquer que les gens ont tant de difficultĂ©s Ă Ă©crire et Ă s’exprimer, je ne peux admettre…
– Oui, c’est inadmettable, effectivement.
– Que les gens ne se corrigent pas de ce problĂšme…
– Ah, ils sont incorrectibles.
– De français… il faudrait que le gouvernement pose un geste…
– Oui, il devrait gesticuler.
– Et, enfin insister sur le fait d’apprendre.
– Oui, il faut insistir sur l’apprendage du français.
– Investir, en quelque sorte, dans notre langue.
– Oui, ce serait une bonne investiture…
– On voit beaucoup trop d’analphabĂštes.
– Oui en effet, l’analphabĂštrave est un flĂ©au…
– C’est un grand problĂšme.
– Oui, c’est trĂšs problemationnel.
– Alors j’ai fait approuver mes textes par le gouvernement, ce sera donc une dictĂ©e ministĂ©reuse.
– On dit ministĂ©rielle.
– Oh pardon.
– EspĂšce d’illettrĂ©.
– Et pour les tĂ©lĂ©spectateurs, une personne rĂ©pĂštera les phrases… vous ĂȘtes lĂ Didier ?
– Moi j’suis Thierry moi !
– Mais qu’est-ce que c’est que ce zouf ?
– Euh, Didier est malade alors on a du le remplacer par le rĂ©gisseur…
– Ăa va ĂȘtre marrant, houhouhou.
– Bon enfin… Ă vos plumes, c’est parti !
– Top !
– La brume a de beaux Ă©loges de la rouge pĂ©nombre derriĂšre.
– La brune a de beaux loloches et la rousse un Ă©norme derriĂšre.
– Une opaque couche avait franchi la plaine.
– Ne me dit pas que tu couches avec Francis Lalaine.
– Une saison pourtant n’est plus.
– T’as raison je ne bandais plus.
– La tristesse pĂąle couvre en amont.
– LĂ tu stresses parce que je dĂ©couvre un amant.
– La jolie baie des tilleuls.
– LĂ je lis une BD ta gueule.
– Il y aura demain cet effet sirupeux dans le ciel muni de bleu frais.
– Il y aura deux mains sur tes fesses si tu veux dans cinq minutes Ă peu prĂšs.
– Et le vent Ă©lancĂ© s’en ira sans tonner.
– Et le vent que j’ai lĂąchĂ© sentira dans ton nez.
– L’hymne sombre des cantons de la triste et cruelle.
– L’innocente chanson de Patrick Bruel
– RĂ©gion latine ou mĂ©lusine.
– RĂ© Jean a-t-il mis sa cousine.
– Points de suspensions.
– Point de freins en plus, cette voiture est vraiment amochĂ©e.
– Ă bĂąbord la forĂȘt oĂč s’amasse la verdure.
– Ah d’abord il faudrait que je ramasse les ordures.
– Filtre l’incandescente braise Ă©clatante.
– Fichtre les cons descendant baiser ma tante.
– Point virgule.
– Point sur la gueule.
– LapidĂ© au ras de la terre, par le choc du tyran d’eau.
– Il a pĂ©tĂ© le radiateur et le pare-choc de sa Renault.
– Les berges ont l’aspect et l’air-mĂȘme d’une citĂ© Ă l’aprĂšs-guerre.
– J’hĂ©berge une espĂšce d’Ă©nergumĂšne excitĂ©e Ă la druquĂšre.
– Point final.
– Qu’est-ce que t’as dit ?
*COUP DE POING*
– La dictĂ©e de Pivot, Les Deux Minutes du Peuple
-Et vous monsieur, quelle est votre phobie ?
-J’ai peur de rien !
-Ah bon. Alors, vous devez certainement…
-Quoi ?
-Rien.
-AAAAAAAH !
Les commentaires sont mieux que la quote :p
“J’ai appelĂ© le mauvais salon funĂ©raire alors j’ai funĂ©raire de numĂ©ro !” đ
Il y a deux type de personnes en ce monde, ceux qui connaissent par cĆur l’intĂ©gralitĂ© des sketchs de François PĂ©russe, et les autres
Tatapouf tataput.
« Petit caniche, peluche pour vieux, tellement que t’es con tu sais mĂȘme pas que t’es un caniche »
(à écouter si vous ne connaissez pas !)
“Et maintenant je le jĂšte du haut de l’immeuble, et comme il est mort il criera pas hééééé.”
…
“Pahééééééé!!!”
– Un fou furieux du nom de Peezle Detweezle veut faire sauter la planĂšte…
– Et quelle est son adresse ?
– Vous traversez Ă la nage, tout nu un torrent truffĂ© de remous et de requins ensuite pendu Ă un hĂ©licoptĂšre par un cheveu et muni dâun tout petit bĂąton vous parcourez un champ radioactif rempli de tyrannosaures et de terroristes armĂ©s de mitraillettes pour finalement entrer dans le coffre fort blindĂ© dont le code est le huit trois trois deux deux quatre cinq cinqseptsepthuithuitdeuxdeuxquatredeuxdbbdbdquatdbdbddddldddbldbdd pour dĂ©sarmer une bombe nuclĂ©aire qui va pĂ©ter dans dix secondes yâa 450 pâtits fils de couleur et il faut couper le bon…
– Dâaccord.
– Pas de questions ?
– Vous pouvez rĂ©pĂ©ter la derniĂšre chose que vous avez dite ?
– Jâai dit « pas de questions ».
– Câest bien ce que jâavais entendu…
“Il a dit KAPWĂ !! Qu’est-ce qu’y peut m’emmerder l’autre avec son con de gosse…”
Euh… C’est qui Didier Super ?