19469

<Cléminou> Elle va m’achever un jour.
<PumpkinMan> *Va chercher les popcorns et s’assoit bien confortablement dans son fauteuil*
<Cléminou> Elle m’envoie :
<Cléminou> “Est ce qu’on peut dire qu’on aime quelqu’un qu’on a jamais vu et à qui on parler que par message ?”
<Cléminou> Si on analyse un peu, elle vient subtilement de m’avouer qu’elle m’aime
<Cléminou> En réponse je lui dis donc d’aller lire “À une passante” de Baudelaire
<Cléminou> Mais vu qu’elle est aussi réceptive à la poésie que le pop corn que t’es allé chercher, elle me demande de lui expliquer…
<Cléminou> Je lui répond donc que bla bla bla l’amour qu’il porte à la passante est fantaisiste et que c’est un amour impossible et c’est ça qui le rend beau
<Cléminou> Et elle elle me répond :
<Cléminou> “Mais ca strouve il a louper une putain de belle histoire d’amour wesh !”
<Cléminou> Je veux mourir.

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11 réponses à “19469”

  1. Avatar de Jilano's Whip
    Jilano’s Whip

    Si j’ai bien compris, il lui a mis un râteau là ? Amour impossible, tout ça tout ça

  2. Avatar de LethalVenom
    LethalVenom

    Boudoir.

  3. Je vais être cruel, mais s’il ne se trompe pas et qu’elle l’aime, qu’ils ont moyen de se voir et qu’elle est vaginalement motocultable, alors je conseille à Cleminou de se la faire une bonne fois pour toutes avant de l’envoyer bouler.
    Ce com sera sûrement downvoté comme c’est pas permis, et je me ferai sûrement traiter de connard. J’en suis navré, mais le “wesh” m’est insupportable.

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  4. Avatar de mirmagnium

    [Désolé pour la vulgarité émanant dans la traduction de “la passante”]

    Wesh la rue fait du booordel.
    La demoizzelle était bonne,
    Elle passa devant ouam,
    Elle bougeait du cul dans son jean moulant

    Sa jambe était trop belle wesh
    Moi je picole mon 51, tranquille,
    Elle mattait bizarre le monde,
    Mais c’était stylé sa mère.

    Elle est passée en un éclair,
    Mais en la voyant, je veux m’la faire,
    Je te recroise a Boulogne ?

    Mais c’est loin de Paris, dehors,
    J’veux pas finir sur #balancetonporc
    Je sais pas où tu vas, moi je vais me fapper,
    Tu m’as a jamais changé

    (Faut bien un peu de poésie a la fin quand même!! )

    [Version originale] :

    La rue assourdissante autour de moi hurlait.
    Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
    Une femme passa, d’une main fastueuse
    Soulevant, balançant le feston et l’ourlet ;

    Agile et noble, avec sa jambe de statue.
    Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
    Dans son oeil, ciel livide où germe l’ouragan,
    La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

    Un éclair… puis la nuit ! – Fugitive beauté
    Dont le regard m’a fait soudainement renaître,
    Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ?

    Ailleurs, bien loin d’ici ! trop tard ! jamais peut-être !
    Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
    Ô toi que j’eusse aimée, ô toi qui le savais !

  5. Ce n’est pas la seule à ne pas être réceptive à la poésie. Le peu d’intérêt que j’aurais pu lui apporter a été étouffé lors d’une étude obligatoire des fleurs du mal.

    Cela dit, mirmagnium tu as du talent.

  6. Attention Cléminou, selon Dostoievski, “on peut s’amouracher et haïr”. C’est peut-être le début d’une grande histoire, wesh.

    (Pour les curieux, la citation se trouve dans Les Frères Karamazov) (aucun lien fils unique).

  7. Toi par contre t’a rien loupé.

  8. Le top com, il est émouvant sa race !

  9. Tant d’efforts pour rien… Ah si, wesh.

  10. Avatar de bonnyread

    Pour info la femme dont parle le poème est une voleuse borgne… Aucune vision romantique ne se cache là-dedans!

    c’est tout pour moi.

  11. Kill it with fire.

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