Laura : Ouais soit ça, soit on mange comme des porcs chez moi en regardant un documentaire.
Laura : LE choix c’est toi
Guillaume : Je suis un choix ?
Guillaume : omg ! quelle horreur, je n’existe qu’en tant que potentialité !
Guillaume : mais bon, du coup j’ai des conséquences, j’imagine que c’est une forme d’immortalité.
Laura : On s’en bat les couilles. En gros frites / bières à chatelet ou panel de bouffe et bières / vin chez moi ?
Guillaume : attends, c’est de mon existence entière dont il est question là, tu peux me laisser la possibilité d’exister quelques secondes de plus ?
Guillaume : ça t’arracherait la gueule de me donner quelques jours ou quelques mois à vivre ?
Laura : … dans deux jours j’ai mes règles. Dans deux jours tu paieras pour cet affront
Guillaume : tu sais, moi et le futur
Guillaume : d’ici là le choix aura été fait et je n’existerai plus
Laura : facepalm
17 réponses à “19220”
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Ça va saigner
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Alors d’après vous, Laura ou Laura pas?
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Je travaille pour la modération du site. Nous avons fait une erreur, nous avons malencontreusement inversé les pseudos. Nous somme désolés. Dé-so-lés
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Dans ce genre de cas, mieux vaut règler le problème du choix par élimination…
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Guillaume, il intellectualise tout, on dirait Malcolm de la série … Malcolm.
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Hum, mais de quel genre de documentaire parlait-elle donc ?
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Intéressant, du coup ça serais Guillaume qui a ses règles ?
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Depuis quand ça existe sur DTC un mec qui fait chier une fille ?
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Le pauvre, n’a même pas le choix dans la date…
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Une petit pensée pour Guillaume qui depuis que la quote a été soumise n’existe probablement plus :'( .
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Par contre est-ce qu’on pourrait faire le choix de l’humour s’il vous plaît?
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Maitre futong disait, quand la vallée est sanglante, emprunte le petit chemin boueux.
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Je n’ai rien compris
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Moi qui croyait que seule Sophie devait faire un choix…
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Sa gueule, je ne sais pas, mais dans deux jours c’est la paroi de son utérus qui va s’arracher !
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Ramène ton cul très très vite, dans deux jours on pourra plus baisser T.T
Ca allais aussi non -
“On s’en bat les couilles.”
