<Magus> Je préférerais coder une IA en brainfuck que de sortir avec elle.
<Magus> Je préférerais coder une IA en brainfuck que de sortir avec elle.
En même temps sortir avec une IA…
Je préférerai me taper une fille croisée avec un raton laveur, trisomique, schizophrène et alcoolique au dernier stade, le tout espionné par un nain unijambiste dans une cave à Marseille plutôt que de coder une IA en brainfuck.
Si l’IA c’est “Useless Machine”, pourquoi pas :p
Le brainfuck, c’est merveilleux ! :]
Quelqu’un pour expliquer le pourquoi du comment ? ( au delà du “il sous entend que sortir avec cette fille serait encore plus chiant que faire de truc déjà très très chiant.” Je voudrais savoir c’est quoi ce truc déjà très très chiant. )
Brainfuck est un langage de programmation. Il tire son nom de l’union de deux mots anglais, brain (« cerveau ») et fuck(« baiser »), et joue sur les mots, puisque ce langage est volontairement simpliste, et parce que l’expression Brain Fuck évoque, en argot, ce qui met le cerveau dans un état de confusion par sa complexité apparente.
Cordialement,
Le lutin de Wikipedia.
Dans la quasi totalité des langages, pour afficher “Hello world!”, c’est très simple et immédiatement compréhensible. Exemple en php :
echo “Hello world!”;
Le “echo” indique que ce qui suit (Hello world!) doit être affiché. C’est simple et immédiatement compréhensible par un humain qui lit/écrit le code.
En brainfuck par contre, ça donne ça :
++++++++++[>+++++++>++++++++++>+++>+<<<<-]>++.>+.+++++++..+++.>++.<<+++++++++++++++.>.+++.——.——–.>+.>.
Ce code fait la même chose, sauf que c’est totalement incompréhensible pour … 99,999999% des êtres humains. Au moins.
Sachant qu’une IA est quelque chose de très (voir très très très) long à coder dans un langage qu’un humain peut comprendre, je dirais qu’une vie humaine ne suffirait pas pour coder une IA en brainfuck.
Pourquoi autant de dislike sur une quote du seigneur Magus ?!
Je ne comprends plus rien à ce monde de geeks…
Et après y’en à qui se plaignent d’être célibataire à 30 ans. Si ils font les difficiles aussi