Favoris de barbie turikk
<Sakapuss> Non moi je vais vous dire ce que c'est l'horreur.
<Sakapuss> L'horreur c'est quand tu dois aller chercher ta copine à la gare à 8h30 et qu'il est 8h50, que tu bondis de ton lit en t'explosant la tête contre le plafond (mezzanine), que tu sors en trombe en te rendant compte une fois dans l'ascenseur que tu es encore en pantoufles, que tu dois donc descendre et remonter pour aller mettre tes pompes en 4e vitesse, que quand tu redescends évidemment l'ascenseur s'arrête aux 5e et 3e étages pour cueillir les voisins qui te font poliment remarquer que tu as une gueule de zombie, qu'une fois à l'extérieur tu coure tellement comme un taré que tu te casses la gueule devant une bande de wesh qui se foutent allègrement de ta poire, que tu manques de te faire écraser, et enfin toujours en courant comme un malade, alors que tu aperçois la gare au loin juste en face de toi, tu te rappelles d'un coup que toute cette histoire de devoir aller chercher ta copine à la gare tu l'as juste rêvée et qu'en réalité t'as pas de copine.
<Sakapuss> C'est ça l'horreur.
<Sakapuss> Alors arrêtez de chialer sur vos vies, y'a toujours pire. <Léo'> mec je peux t'envoyer ma conclu de dissert de philo ou tu t'en branle complet ?
<Faalt> A moins que ça parle de poneys, je doute en avoir quelque chose à branler.
<Léo'> J'te jure ça parle de poneys
<Léo'> Premièrement, en dehors du cadre de notre société, le simple fait de travailler est en contradiction avec la servitude. Dans un travail primaire et de survie, l'homme est complètement dépendant de lui-même. Le monde de service qui est le notre nous a fais entrer dans une totale interdépendance, faisant de l'homme un être voué à la servitude de l'autre par son Travail. Mais l'interdépendance induit aussi la dépendance de l'autre homme à celui-ci. En effet, même dans ce cadre limité qu'est notre société d'argent, l'homme n'est pas réduit qu'à une simple servitude. Son travail induit la dépendance mais aussi son pouvoir : l'esclave est aussi le maître. De plus, par son travail il aide à la vie de son espèce : bien que parfois indirectement, cet homme aide à sa propre vie (cf. paragraphe I). Enfin, le Travail que fait l'homme, en dehors de la peine qu'il apporte et de la malédiction qu'il consiste, est source importante de satisfaction et d'accomplissement de soit. Et j'aime les poneys.
<Faalt> Ah oui en effet. Oo