Favoris de Caca_masque
<Tor> armani, t'es là?
<Armani> oui?
<Tor> je suis dans une merde pas possible à cause de la soirée chez laetitia
<Armani> toi dans la merde? t'as renversé un mouchoir par terre et tu trouve que t'es trop dingue?
<Tor> non mais là j'ai un vrai problème, tu sais, tu m'as dit que je devrais prendre un minimum de risque pour pas rester puceau à vie?
<Armani> et t'as pris quoi comme risque? t'as parlé à une fille?
<Tor> arrête de te foutre de ma gueule, je suis vraiment dans la merde, j'allais rentrer chez moi et je suis parti chercher mes affaires dans la chambre de laetitia. Ce que j'avais pas prévu, c'est qu'elle s'y trouvait et qu'elle était à moitié à poil.
<Armani> bah ça va, t'es juste allé dans sa chambre, c'est pas non plus un drame (et explique moi le rapport avec les risques)
<Tor> j'ai pas fini en fait
<Tor> donc j'y suis, en la voyant, je sors en vitesse histoire de pas passer pour un pervers, sauf qu'elle me retient en disant un truc comme "ça va, tu peux rester, c'est pas grave" (elle était en soutif-pantalon). Histoire de pas passer pour le gros timide que je suis, j'essaie de garder la face en lui disant que si elle voulait, je pouvais lui mater les seins.
<Tor> j'avais pas prévu qu'elle serait d'accord et enleverait son soutif en me disant que je pouvais même les toucher si je voulais
<Armani> mec, t'es vraiment trop con!
<Armani> une chaudasse à poil te dit de la tripoter, et toi, tu reste comme un con dans le fond de la chambre! putain, t'aurais du y aller et te la faire!
<Tor> pour la première fois de ma vie, je me suis dit comme toi, tous les signes étaient là, donc j'y vais, je commence à la tripoter, et je l'embrasse même.
<Armani> et il est où le problème qui te fout dans une merde noire?
<Tor> au bout de trois secondes de bisou, elle s'est reculée en furie, m'a foutu une gifle et s'est mise à crier. Donc la version officielle, c'est "Tor a surgi dans ma chambre pendant que je me changeait et s'est mis à me tripoter sans mon consentement"
<Armani> ...
<Armani> T'inquiète pas, je te rendrais visite en prison. <Reno> Tu sais Alice, je ne pensais pas que le mot amour puisse avoir un sens, puis je t'ai rencontré, tu étais là, debout assez timide avec cette sorte de lueur dans les yeux. Les cheveux courts qui volaient au vent, et je me suis pincé une bonne dizaine de fois pour m'assurer de ne pas rêver, et le bonheur arriva jusqu'à mon cœur lorsque le prof te plaça à mes côtés. Ton parfum, tes sourires, tes mots, tout semblait parfait à mes yeux comme ta personne. Et puis à cette soirée, nous nous sommes parlé, pour la première fois, et j'ai cru que les miracles pouvaient devenir vrais. J'ai appris à te connaître et le désir que j'éprouvais à ton égard n'en sortait que plus fort. Pauvre fou que je suis, alors que tu étais celle qui volait mon âme, tu as réussi à me la dérober. Plus que proche, plus que fou, plus qu'amoureux je suis entré modestement dans ta vie, et dans le simple but de t'égayer le quotidien je suis tombé dans ton ombre, ton souffle. Je vivais pour toi, presque pour toi et la douleur ne pas pouvoir t'avouer ces mots si ardents, ceux qui restent secret en face d'un ange tel que toi me hantaient. Je ne suis pas un homme parfait, je ne possédé pas assez de courage pour te le murmurer, mais je suis assez fort pour te l'écrire et me confesser à toi. Alice, ma douce, je t'aimais, je t'aime et je t'aimerais, au delà même de la mort.
<Alice> J'ai pas lu, trop long
<Alice> Abrège =/
<Reno> ...