Ça me fait penser à une blague (je ne suis pas raciste) :
Un accident mortel s'est produit dans le Nord pas de Calais, un mari à perdu sa femme, sa sœur et sa tante. Heureusement il n'y a eu qu'un seul mort.
Ou alors c'etait le journaliste dans la voiture d'en face et il parle de lui...
Ou un journal publié principalement outre-tombe...
Capillotracté mais je cherche, je cherche
Explication numéro 167 :
L'auteur était sur place et voulait dire "Wahou, trop mortel c't'accident" mais a essayé de le reformuler à l'écrit, très maladroitement.
Je trouve que vous manquez un peu d'imagination les jeunes.
Il suffit d'envisager le cas suivant : un camion percute un bus scolaire en pleine nuit sur une route nationale ; les deux chauffeurs sont tués sur le coup, mais aucun des enfants ne meurt, même si certains vont devoir passer plusieurs jours à l'hôpital. L'accident est bien mortel pour les deux chauffeurs, qui pourront discuter dans l'au-delà de qui était en tort, mais ça aurait pu être bien pire, étant donné que le bus était rempli d'une cinquantaine de têtes blondes aux os encore bien fragiles : plus de peur que de mal donc, au moins pour les enfants, leurs parents, leur école, leur ville, etc...
Un accident mortel s'est produit dans le Nord pas de Calais, un mari à perdu sa femme, sa sœur et sa tante. Heureusement il n'y a eu qu'un seul mort.
Ou un journal publié principalement outre-tombe...
Capillotracté mais je cherche, je cherche
L'auteur était sur place et voulait dire "Wahou, trop mortel c't'accident" mais a essayé de le reformuler à l'écrit, très maladroitement.
Il suffit d'envisager le cas suivant : un camion percute un bus scolaire en pleine nuit sur une route nationale ; les deux chauffeurs sont tués sur le coup, mais aucun des enfants ne meurt, même si certains vont devoir passer plusieurs jours à l'hôpital. L'accident est bien mortel pour les deux chauffeurs, qui pourront discuter dans l'au-delà de qui était en tort, mais ça aurait pu être bien pire, étant donné que le bus était rempli d'une cinquantaine de têtes blondes aux os encore bien fragiles : plus de peur que de mal donc, au moins pour les enfants, leurs parents, leur école, leur ville, etc...