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Commentaires de Kloner
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<Léo'>
mec je peux t'envoyer ma conclu de dissert de philo ou tu t'en branle complet ?
<Faalt>
A moins que ça parle de poneys, je doute en avoir quelque chose à branler.
<Léo'>
J'te jure ça parle de poneys
<Léo'>
Premièrement, en dehors du cadre de notre société, le simple fait de travailler est en contradiction avec la servitude. Dans un travail primaire et de survie, l'homme est complètement dépendant de lui-même. Le monde de service qui est le notre nous a fais entrer dans une totale interdépendance, faisant de l'homme un être voué à la servitude de l'autre par son Travail. Mais l'interdépendance induit aussi la dépendance de l'autre homme à celui-ci. En effet, même dans ce cadre limité qu'est notre société d'argent, l'homme n'est pas réduit qu'à une simple servitude. Son travail induit la dépendance mais aussi son pouvoir : l'esclave est aussi le maître. De plus, par son travail il aide à la vie de son espèce : bien que parfois indirectement, cet homme aide à sa propre vie (cf. paragraphe I). Enfin, le Travail que fait l'homme, en dehors de la peine qu'il apporte et de la malédiction qu'il consiste, est source importante de satisfaction et d'accomplissement de soit. Et j'aime les poneys.
<Faalt>
Ah oui en effet. Oo
Score : 2004 / 941
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"-Accomplissement de soi.
-Et un thé avec ceci ?
-Bien sûr que non, cela va de soit !"
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Commentaires de Kloner
<Faalt> A moins que ça parle de poneys, je doute en avoir quelque chose à branler.
<Léo'> J'te jure ça parle de poneys
<Léo'> Premièrement, en dehors du cadre de notre société, le simple fait de travailler est en contradiction avec la servitude. Dans un travail primaire et de survie, l'homme est complètement dépendant de lui-même. Le monde de service qui est le notre nous a fais entrer dans une totale interdépendance, faisant de l'homme un être voué à la servitude de l'autre par son Travail. Mais l'interdépendance induit aussi la dépendance de l'autre homme à celui-ci. En effet, même dans ce cadre limité qu'est notre société d'argent, l'homme n'est pas réduit qu'à une simple servitude. Son travail induit la dépendance mais aussi son pouvoir : l'esclave est aussi le maître. De plus, par son travail il aide à la vie de son espèce : bien que parfois indirectement, cet homme aide à sa propre vie (cf. paragraphe I). Enfin, le Travail que fait l'homme, en dehors de la peine qu'il apporte et de la malédiction qu'il consiste, est source importante de satisfaction et d'accomplissement de soit. Et j'aime les poneys.
<Faalt> Ah oui en effet. Oo
-Et un thé avec ceci ?
-Bien sûr que non, cela va de soit !"