Favoris de pomme rose
<~eolgs> c'est l'histoire d'un rouleau de PQ nommé Bobby.
<~eolgs> Ce rouleau de PQ est un homme pieu et sage mais il en a marre de frotter des culs.
<~eolgs> Alors un jour le rouleau de PQ décide de s'en aller, de fuir les toilettes.
<+Pounay> eolgs : c'est bon. Ca va encore être la faute de la société.
<+Pounay> Et ton rouleau de PQ va devenir communiste.
<&Moiip> NO SPOIL
<~eolgs> Alors le rouleau il s'en fuit.
<+Pounay> Le petit rouleau de PQ rouge u_u
<~eolgs> Puis pour sortir des toilettes, il se retrouve face à un premier obstacle: les clous du parquet.
<~eolgs> Alors le rouleau il passe en force, mais il y laisse des éraflures, néanmoins, il ne se laisse pas abattre et continue son chemin.
<~eolgs> il attends à la porte en attendant que quelqu'un ouvre.
<~eolgs> Alors quelqu'un ouvre et il se casse et là il dévale les escaliers à toute vitesse:
<~eolgs> PAM
<~eolgs> POUM
<~eolgs> PIM
<~eolgs> BOUM
<~eolgs> ET IL TOMBE
<~eolgs> ET IL SE FAIT DES BLEUS
<~eolgs> Mais arrivé en bas, il se sent grandi, il ne se décourage pas.
<~eolgs> Il sort alors de la maison, mais là il se rend compte que quelque chose ne va pas.
<~eolgs> Il fait très, très, très froid.
<~eolgs> Alors il regarde et il se rend compte qu'il n'a plus de PQ sur lui, plus que le carton.
<~eolgs> Et là il se met a pleurer et en pleurant, le carton ramollit. Il tombe dans le caniveau et finit dans les égouts.
<~eolgs> Morale de l'histoire :
<~eolgs> Il avait une place définie dans une société, il a voulu quitter sa place, il a eut ce qu'il méritait, le connard.
<~eolgs> On affronte pas le système
<+Galiphene> Pour la merde tu es né, dans la merde tu finiras. Mwa : hum... Je serai ptet pas là au boulot lundi...
Aude : ????
Mwa : hier soir j'étais invité chez des amis pour un barbeuc, et vu qu'il faisait beau ils ont sorti leur matos de tir à l'arc.
Mwa : un truc de Décathlon, avec des flèches à ventouse.
Mwa : on tire avec, je fais quelques cibles, et à un moment, pour déconner, j'ai voulu voir si les ventouses collaient sur mon front.
Mwa : et ça a marché ! Je ressemblais à une fourmi avec les flèches collées, j'avais trop la classe !
Mwa : sauf que quand je les ai enlevées, j'ai vu que les ventouses avaient "aspiré" ma peau... Du coup j'ai deux gros suçons sur le front, bien ronds et bien violets, et apparemment y en a pour une semaine... Messie10 : Salut tout le monde, j'ai un ptit problème à vous faire part
Messie10 : Je suis en cité u et il ya une voisine qui m'intéresse beaucoup, mais je sais pas comment l'aborder...
Messie10 : Je suis coincé...
Susje : Bah, engage la conversation, cherche à maintenir le contact ;)
Mot-lière : "Bonjour, tu t'appelle comment ?... Ah, c'est un joli nom, MOI C4EST Bidule, je suis dans la chambre 307 ?... Et sinon, tu es dans quel UFR ?..." ;)
Susje : Un peu trop direct non ?
Niktoit : Tu lui di quel es mignone
Mot-lière : Beuh non ;)
Mot-lière : Mouais, ça par contre ça peut moins marcher !
Niktoit : g pécho plein de fois comme ça !
Susje : Euh...
Neige-Blanche : Comment aborder les gens en général ... J'ai l'impression que c'est le pb de bcp de monde.
Neige-Blanche : Moi je suis une ancienne timide.
Neige-Blanche : J'étais la timide qui ne parle pas, qui n'a rien à dire, qui N'OSE PAS.
Neige-Blanche : Ensuite j'ai un peu travaillé dans des boutiques entant que vendeuse, j'ai été hôtesse d'accueil.
Neige-Blanche : + 1000 pour le décoinçage, j'avoues.
Neige-Blanche : Mais en entreprise, je persistais à être timide, réservée.
Neige-Blanche : Les gens étaient plus intelligents que moi, avaient plus de choses à dire, et de surcroit des choses plus intéressantes.
Neige-Blanche : Seulement voila. Un jour, je me suis rendue compte que ces gens intéressants s'appuyaient beaucoup sur moi pour se faire valoir.
Neige-Blanche : Que j'étais de plus en plus en position de "Dindon de la farce" que ces gens étaient un peu cons, quand même.
Neige-Blanche : Qu'en analysant bien leurs discours, j'avais des idées aussi valables que les leurs.
Neige-Blanche : Puis un jour, la boutade de trop.
Neige-Blanche : Mon boss très intelligent annonce à la cantonade que le rouge de mon chemisier ne va pas avec le rouge de mon rouge à lèvres.
Neige-Blanche : Il ne riait pas.
Neige-Blanche : Moi non plus.
Neige-Blanche : J'ai donc placer que je m'en lavais les mains, le coeur timide et battant.
Neige-Blanche : Puis, j'ai de plus en plus dit le fond de ma pensée, donner mon avis très souvent contraire sur les travaux en cours.
Neige-Blanche : Je n'étais plus la gentille collègue timide mais la collègue au fort tempérament, celle qui fait Fuck.
Neige-Blanche : Ca s'est généralisé au reste de ma vie, et depuis ça va.
Neige-Blanche : J'ai envie de m'intégrer ? Je m'intègre partout.
Neige-Blanche : Je ne suis culturellement pas au niveau de mes interlocuteurs ? Je m'intéresse à eux et apprends d'eux.
Neige-Blanche : Le niveau de mon voisin est au ras des pâquerettes ? Je le suis.
Neige-Blanche : J'ai eu affaire il y a 15 jours à un groupe de personnes assez fermé, je n'étais pas motivée pour les aborder, mais j'ai fait l'effort de m'imposer dans la converse... "Cette plaquette là ? Ah oui elle est très bien élaborée !"
Neige-Blanche : Le regard franc mais pas insistant, le sourire, sont le début d'une intégration.
Neige-Blanche : En Amour c'est idem
Neige-Blanche : Pas besoin de grandes phrases pensées à l'avance
Neige-Blanche : Un sourire, un regard, un "Salut ça va ?" Et hop tu poursuis ton chemin sans attendre la réponse.
Neige-Blanche : Le lendemain, quand la personne te revoit, elle te dit Bonjour d'elle-même.
Neige-Blanche : Bon, je vous souhaite bonne soirée, je vais me faire une tisane, ça fait du bien de lâcher ça...
* Neige-Blanche has disconnect
Messie10 : ...
Messie10 : C'est ma nouvelle déesse