Commentaires de YOPLAY

Mais, si la coutume du vol de nez remonte à la déformation que faisaient les bonnes en s'appuyant sur la proximité phonétique entre "vol au nez" et l'apostrophe "Voloné !", alors il n'y a aucune raison que l'histoire initiale entre les deux frères ait quoi que ce soit à voir avec le vol de nez, finalement. J'imagine que la corrélation rend la chose plus cocasse mais quand même, elle donne une double justification à un élément qui n'en nécessitait qu'une !

Par contre je sais pas à quoi sert ma remarque.

Est-il possible de définir que cette quote date d'avant le covid, puisqu'a priori elle n'avait pas de masque dans les transports en commun ?

Le mystère, comme la crème, s'épaissit...

Comme je vois pas mal de confusion en commentaires je viens à la rescousse !

Je viens moi-même il y a peu d'achever une prépa artistique, qui proposait trois options : théâtre, cinéma et... Arts plastiques ! Contrairement à la MANAA, on parle bien ici d'une véritable CPGE, avec concours de l'ENS à la clé. La prépa se compose bien de toutes les autres matières de prépa AL/BL type histoire, géo, philo, littérature... Mais propose en plus des cours sur la spécialité artistique choisie. Il y a bien sûr une partie de pratique (donc les théâtreux font de la mise en scène, les cinés réalisent des métrages et les arts plas réalisent des compositions plastiques) mais il s'agit avant tout d'aborder l'art sous un angle théorique et de développer un esprit capable de réflexion et de sensibilité. Pour les arts plastiques, les khôlles durent trois heures et se composent de deux questions auxquelles les étudiants doivent répondre en utilisant une liste d'œuvres imposée. Pour les DS, il s'agit de six heures de dissertation sur un sujet concernant les arts plastiques, tout simplement ! Il me semble qu'au concours cette année, leur sujet fut "La sculpture monumentale, un art contesté ?" ou quelque chose comme ça.

Je vous salue par ce paragraphe de conclusion, et en profite simplement pour vous dire que c'est une formation formidablement enrichissante et intense, arrêtons les concours de bite avec les prépas scientifiques ! De toute façon, chacun suit bien le cursus qui lui plaît et c'est une raison suffisante pour susciter le respect, je pense.

Je m'envole !

Pour ceux qui parlent de déterminer le droit de vote, sachez que ça a existé ! Pendant la Monarchie de juillet (à partir de 1830) y avait un truc qui s'appelait le suffrage capacitaire et qui limitait le droit de vote aux gens disposant de certaines capacités intellectuelles (savoir lire et écrire, par exemple). Les révolutionnaires eux-mêmes ont voulu utiliser ce système dans leur constitution en 1793 mais ça n'a pas abouti. Je suis allé vérifier vite fait, ça a apparemment aussi existé en Belgique, dans certains états des États-Unis et, jusqu'à assez récemment, dans certains pays d'Amérique Latine...
Y a pas à dire, sous son image idéalisée, la démocratie fait peur...

Eeeh c'est ce qu'on aimerait croire quand on voit le niveau extrême de détails jusqu'où on peut monter dans certaines analyses ! Forcément, quand on ne fait que suivre l'étude menée par un prof, beaucoup d'éléments semblent tirés par les cheveux... Mais vous, si vous deviez passer des semaines à écrire un poème de quatorze vers, vous ne pensez pas que vous prendriez le temps d'être minutieux ? Que ce soit parfaitement volontaire ou que ce soit la structure de la langue qui crée des coïncidences bénéfiques à l'harmonie du poème, on remarque très vite que l'on peut commenter sur tout, parce que dans une majorité de cas, on peut compter sur l'auteur pour avoir pensé à tout ! Les sonorités de chaque lettre racontent des histoires, portent des sentiments et des effets : si ce n'est pas l'auteur qui crée ces sonorités, qui sont déjà définies pour chaque mot, c'est plutôt le choix des mots en fonction de leur forme qui crée une bonne partie du génie du poète. N'oubliez jamais que si pour le lecteur, lire un mot ne prend qu'une fraction de seconde, le choix de ce mot aura sans doute été l'affaire d'un long moment de réflexion fructueuse de la part de l'auteur, et selon moi, c'est parce qu'on n'a pas assez conscience de ce travail que l'on a tendance à qualifier les analyses détaillées de brnlette intellectuelle... Je ne peux que vous conseiller de toujours faire confiance au poète, qui a accompli pour vous un travail minutieux d'agencement des mots, des silences, desa émotions... On essaye de vous faire étudier ce travail pour vous y sensibiliser, mais rien ne sera jamais plus important que la lecture simple et sensible, qui ne se soucie pas des détails techniques de l'écriture. Gardez dans un coin de votre tête que ce travail est bien réel, mais plus que tout, soyez émus par la poésie, et rien que par la poésie, car si le poète travaille si dur, c'est pour vous faire bénéficier de cette forme d'expression optimale, certainement pas pour que vous dissertiez sur ce travail. Appropriez-vous les poèmes, ressentez-les comme vous le souhaitez, ne pensez jamais que la poésie est trop compliquée pour vous, parce que si le poète travaille autant, c'est pour vous éviter de faire des efforts de réflexion : laissez-vous porter par vos sentiments, c'est tout !

Navré pour le gros pavé, je sais que sur DTC beaucoup de gens n'aiment pas passer trop de temps à lire les choses trop longues, cependant je serais ravi si certains le lisent et trouvent mon message cohérent ! La poésie c'est pour tout le monde, parce que tout le monde ressent des émotions, la barrière de l'interprétation trop poussée ou intellectuelle, c'est une connerie absolue !

Énormes bisous

Ca aussi

"C'est assez vague pour être clair, n'est-ce pas ?
Boris Vian, En Avant la zizique

Et c'est ainsi en portant son iPhone à son oreille que la mère deGargantua accoucha par l'oreille après onze mois de gestation. C'est pas moi qui le dis, c'est Rabelais !

Les deux encore dénudés et en sueur, Tom lance trivialement "Au fait, on est frère et soeur."

Seule explication possible.

"Don't worry, I'm a doctor! ... IN PSYCHOLOGY!
[...]
So how does that make you feel?
*bourdonnement des mouches au dessus du cadavre*"
TomSka, du dernier asdf movies

Anecdote théâtrale incoming !
Les théâtres traditionnels du théâtre élisabéthain (dérivés des scènes en plein air du XVIème siècle) sont octogonaux, et de l'arrête du haut jusqu'environ au centre de la scène se distinguaient plusieurs parties, dont un genre d'estrade surélevée aux multiples fonctionnalités :
-cacher les coulisses des acteurs qui se situaient probablement en dessous
-mettre en valeur certaines scènes, notamment de batailles
-RÉALISER LA SCÈNE DU BALCON DE ROMÉO ET JULIETTE !
Donc rassurez-vous, cette scène mythique a bien pu être jouée en (plus ou moins) bonne et due forme, puisque comme il a déjà été précisé, le rôle de Juliette était bien sûr incarné par le gros Gérard...

C'était une intervention de Capitaine Chiant, parce qu'apprendre en s'amusant, c'est trop facile !
Bisous

"Le meilleur moyen de réaliser l'impossible est de croire qu'il est possible." Le Chapelier Fou

-Larry, tu es devenu un modèle de séducteur pour toute une génération.
-Ooooh, c'est bieeeeen !
-Pas si bien que ça ! Le taux de célibat et de friendzone n'a jamais été aussi élevé depuis la sortie de tes jeux...
-Eh merde !

"Poussons chacun nos pointes ! La mienne est en fer et ne mollit jamais... hé, hé."
Le Père Goriot, Balzac

"Femme qui rit, à moitié dans ton lit, le problème c'est qu'une fois dans mon lit elle rigole toujours..."

Boutade (réaliste) de l'illustre Babass !

Ça me rappelle la première phrase d'un sketch de Devos "L'autre jour, en pleine nuit..."
Raymond Devos, ou l'art de faire exploser de rire un public en deux secondes de présence scénique.

"Scute" dans les commentaires !

Mise en abîme, mise en abyme, les deux sont acceptés donc sus à la haine !

Et pour l'anecdote littéraire passionnante, la variante avec un "y" existe car graphiquement, la lettre s'oriente vers le bas, comme... Le fond d'un aby/î/me.

OUKILÉKON !

Jo?

Pouet

Oui

Non.

À tous ceux qui corrigent cette vilaine "personnification" par une métaphore en commentaires, retenez qu'il s'agit d'une comparaison. Plusieurs expressions sont utilisées pour faire le lien entre la série et le poulet comme "on peut prendre COMME EXEMPLE un poulet" ou "le poulet IL REPRÉSENTE ton envie de voir ta série", alors qu'une métaphore ne fait usage d'aucun procédé de mise en relation entre les deux objets qu'elle compare, faisant de ce fait planer plus du mystère et titillant l'imagination.

Bisous à vous<3

J'ai halluciné pendant une bonne partie de la quote en pensant qu'il s'agissait de moi puisque la péripétie et le nom correspondaient... Mais fausse alerte! Moi j'ai battu le bus à la course et ce con de chauffeur a fini par me laisser rentrer deux arrêts plus loin, un type bourré m'a même applaudi quand je suis monté