Favoris de RobynKeller
Marine : Non pas trop... Tu sais que mon nom de famille c'est Bouchez ?
Ozone : Je savais pas, mais je compatis, ca craint
Marine : C'est pas tout, y a une semaine a une soirée un pote a changé mon nom FB pour rigoler, et il y a un petit délai avant de pouvoir changer. Du coup, ce matin, gueule de bois après une petite soirée avec les potes, je me dis que je vais le modifier, sauf que le clavier décide de me faire taper un N a la place d'un M. Maintenant je me retrouve a m'appeler Narine Bouchez sur FB.
Ozone : Permet moi, mais tu viens d'illumiNEZ ma journée ma petite ! (je sais je sais, je sors) <Léo'> mec je peux t'envoyer ma conclu de dissert de philo ou tu t'en branle complet ?
<Faalt> A moins que ça parle de poneys, je doute en avoir quelque chose à branler.
<Léo'> J'te jure ça parle de poneys
<Léo'> Premièrement, en dehors du cadre de notre société, le simple fait de travailler est en contradiction avec la servitude. Dans un travail primaire et de survie, l'homme est complètement dépendant de lui-même. Le monde de service qui est le notre nous a fais entrer dans une totale interdépendance, faisant de l'homme un être voué à la servitude de l'autre par son Travail. Mais l'interdépendance induit aussi la dépendance de l'autre homme à celui-ci. En effet, même dans ce cadre limité qu'est notre société d'argent, l'homme n'est pas réduit qu'à une simple servitude. Son travail induit la dépendance mais aussi son pouvoir : l'esclave est aussi le maître. De plus, par son travail il aide à la vie de son espèce : bien que parfois indirectement, cet homme aide à sa propre vie (cf. paragraphe I). Enfin, le Travail que fait l'homme, en dehors de la peine qu'il apporte et de la malédiction qu'il consiste, est source importante de satisfaction et d'accomplissement de soit. Et j'aime les poneys.
<Faalt> Ah oui en effet. Oo