Favoris de Cthulhoops
Frwear : Vu sur un forum beauté :
Frwear : bactérie19 dit : Bonjour!
Frwear : J'écris, car je suis dans un mal être physique total, et que j'aimerai enfin m'en sortir.
Frwear : POur me décrire, je suis petite (1.53m), ronde (54kg), brune. Je fais de a course à pied depuis trois ans, d'où des mollets musclés qui me complexe affreusement (je les trouve moche et énorme!!).. De plus, je suis large d'épaule (j'ai hérité de la carrure de ma grand-mère allemande), des biceps musclés et des cuisses trop grosses, un ventre trop moche...
Frwear : Mon ami m'a dit que je ressemble physiquement à Coeur de Pirates... Et je lis sur elle qu'elle est grosse, flasque, moche, pas terrible... et donc, je le prends pareil pour moi
Frwear : J'essaye aussi de me trouver des qualités, mais cela ne contrebalance jamais les défauts... ainsi, je n'ai ni vergetures, ni cellulites, poignées d'amour ou culotte de cheval...une belle poitrine... j'aime mes cheveux et mes oreilles...
Frwear : Mais bon, je dois sûrement être empli de clichés, de femmes parfaites, grandes, fines... Et je me trouve pas à la hauteur...
Frwear : Réponse d'un type : Je te rassure, tu es un support masturbatoire de qualité.
Frwear : :') Sabrina : Dis moi le premier mot non juridique qui te passe par la tête. Sans réfléchir !
Sabrina : Pastèque
Chmartin : Arbre
Sabrina : Juliette
Chmartin : Castor
Sabrina : Blanchisserie
Chmartin : Barbare
Sabrina : Locomotive
Chmartin : Poussin.
Sabrina : Haha ! Maintenant on écrit une histoire avec ces éléments
Sabrina : Près d'un champ de pastèques ...
Chmartin : Il y avait un arbre solitaire, penché vers le sol.
Sabrina : Passant par là, Juliette ne pu s'empêcher d'être attendrie par cette triste créature
Chmartin : Son regard fut toutefois attiré par une petite créature qui troublait l'immobilité de l'horizon. Non, ce n'était pas un hobbit.
Sabrina : C'était un Castor ! Un petit castor arborant avec fierté sa petite chemise bleue à carreaux et ses nouveaux souliers verts.
Chmartin : En effet, sa mère travaillait à la blanchisserie du quartier, et jamais elle ne laissait son fils sortir de la maison avec des habits négligés.
Sabrina : Juliette demande au petit Castor : " Pourquoi cet arbre est il si triste ? Il doit avoir connu une bien malencontreuse aventure pour être si abattu "
Chmartin : Le castor, effrayé par la voix horrible de Juliette prit la fuite.
Sabrina : Juliette se saisit donc de sa hache ( une hache de poche qu'elle emporte toujours avec elle dans son sac à main ) et court après le petit castor malpoli, telle une barbare allant à l'assaut de ses adversaires !
Chmartin : Le castor, pris de panique en sentant la salive enragée de Juliette lui gicler dans le dos alors qu'elle respirait comme un buffle blessé, se jeta sous une locomotive.
Sabrina : Arrivé sur les lieux du drame, Sergent poussin , policier de son état dit " Pauvre castor, on peut dire que la locomotive lui a fait ... Barrage !"
Chmartin : Ahahah quelle belle histoire
Sabrina : Je pense qu'on devrait définitivement abandonner l'idée d'écrire un livre pour enfant ensemble cela dit ... <Reno> Tu sais Alice, je ne pensais pas que le mot amour puisse avoir un sens, puis je t'ai rencontré, tu étais là, debout assez timide avec cette sorte de lueur dans les yeux. Les cheveux courts qui volaient au vent, et je me suis pincé une bonne dizaine de fois pour m'assurer de ne pas rêver, et le bonheur arriva jusqu'à mon cœur lorsque le prof te plaça à mes côtés. Ton parfum, tes sourires, tes mots, tout semblait parfait à mes yeux comme ta personne. Et puis à cette soirée, nous nous sommes parlé, pour la première fois, et j'ai cru que les miracles pouvaient devenir vrais. J'ai appris à te connaître et le désir que j'éprouvais à ton égard n'en sortait que plus fort. Pauvre fou que je suis, alors que tu étais celle qui volait mon âme, tu as réussi à me la dérober. Plus que proche, plus que fou, plus qu'amoureux je suis entré modestement dans ta vie, et dans le simple but de t'égayer le quotidien je suis tombé dans ton ombre, ton souffle. Je vivais pour toi, presque pour toi et la douleur ne pas pouvoir t'avouer ces mots si ardents, ceux qui restent secret en face d'un ange tel que toi me hantaient. Je ne suis pas un homme parfait, je ne possédé pas assez de courage pour te le murmurer, mais je suis assez fort pour te l'écrire et me confesser à toi. Alice, ma douce, je t'aimais, je t'aime et je t'aimerais, au delà même de la mort.
<Alice> J'ai pas lu, trop long
<Alice> Abrège =/
<Reno> ...