Favoris de Zack
* Bonjour et Bienvenue sur #rencontres !! rappel des regles : parler en français , pas de asv , pubs, warez, porno, sujets à polémiques, répétitions abusives de lettres ou de phrases et svp : restez courtois pour un chat agréable pour tous merci !!
DarkSquall: p'tain je lis le règlement, en gros on doit pas parler de ce qui peut amener un débat :/
fleo: DarkSquall> tout l'art de tout penser, sans rien dire...
DarkSquall: fleo > lol. bon bah je voulais parler de la faim dans le monde et de la guerre en Irak mais vu que les sujets à polémique sont interdit, je vais vous raconter une journée chez ma tante Lucienne
DarkSquall: moins enrichissant intellectuellement, certes
DarkSquall: mais les bien-pensants de sont pas froissés comme ça
anntoine: bonsoir
DarkSquall: ah, 'bonsoir', c'est sujet à polémique ça, imagine le mec il habite à Tahiti, chez lui il est 13h43
DarkSquall: et hop c'est l'engrenage
DarkSquall: des insultes
DarkSquall: des coups
DarkSquall: des suicides... <Dehell> Il y a des choses qui, de quelques manières que ce soit, ne trouvent pas d’explication. Le goût du fromage à raclette, par exemple, couplé à une pomme de terre enroulée d’une tranche de saucisson, c’est fichtrement bon. Sur ce point, je pense que personne ne devrait me contredire. Pourquoi, alors, pourquoi doit-on manger des raclettes uniquement en période de fêtes ? Pourquoi diable les raclettes ont généralement lieu soit en montagne, soit en Décembre ? Quels ont été les évènements parvenus sur Terre ou dans l’Univers qui font que lorsqu’une bouche sage propose une raclette, il y ai entre 80 et 97% de chances qu’on lui réponde « Oh, c’est pas vraiment le moment ». Il y aurait donc un point du continuum espace-temps, une fracture sur la ligne temporelle plus propice à la dégustation de raclettes. Comment le connaissons-nous ? Par convention ? Il y aurait eu, à un moment donné dans un temps lointain, des types en blouse blanche avec les cheveux ébouriffés et de grosses lunettes, résolvant de complexes équations dont le but était, à terme, de définir à quel moment la raclette est-elle plus profitable ? Ou sommes-nous naturellement conditionnés à n’apprécier pleinement ce met magnifique qu’est la raclette ? Avons-nous, profondément encré dans notre corps, une réticence à manger de la raclette hors de la période des fêtes, une sorte d’instinct de survie ? Si tel était le cas, il en découlerait une affirmation, paraissant au premier abord aussi stupide qu’effrayante : manger une raclette à n’importe quel moment peut avoir des effets non estimés voire dangereux.
* Dehell est totalement sobre