Favoris de Devar

<Axl> Tu sais ce que je voudrais Henri?
<Axl> Je voudrais que tout le sperme qui a été éjaculé sur Terre depuis sa création par tous les hommes et tous les animaux de tous les temps soit réuni dans une énorme cuvette de la taille d'un vaisseau spatial, et que cette cuvette soit placée juste au-dessus de Montargis, et qu'elle déverse sur ta ville la totalité de son contenu.
<Henri Death> ...
<Major Tom> Une éjaculation, c'est à peu près 2 à 5 ml. Globalement, d'après les études, on considère qu'il y a environ 100 milliards d'être humains qui ont vécu. Parmi ceux là, 50 millions d'hommes. Globalement, on va considérer que l'espérance moyenne d'un homme depuis le début de l'humanité est à 45 ans. Ça fait, si on prend la première éjac à 14 ans, 31 ans de vie "active".
<Major Tom> Sur ces 31 ans, soyons généreux, et considérons en moyenne 3 éjacs par semaine (estimation basse selon les normes actuelles, mais bon à l'époque on sait pas trop ce qu'ils faisaient)
<Major Tom> Soit 1600 éjacs dans une vie humaine.
<Major Tom> Multipliés par les 50 milliards d'hommes ayant vécu, ça fait 8 x 10¹³ éjacs
<Major Tom> avec en moyenne 3.5 ml par éjac, on arrive à 2.8x10¹¹ litres en tout.
<Major Tom> Le titanic faisait, en gros, d'après ses dimensions et en considérant que c'était un parallélépipède rectangle, 415 000 m³
<Major Tom> Le nombre de litres donné ci dessus donne 2.8x10⁸ m³, soit 280000000
<Major Tom> Il faudrait donc remplir quelques 6760 titanics pour contenir toute la semence jamais éjaculée.
<Henri Death> ça en fait, des kleenex
<Major Tom> Sachant que Montargis fait 4,46 km², pour 30 m de dénivelé maximal, on va estimer le volume total de la ville à 133 8000 000 m³
<Major Tom> Du coup, en déversant le sperme total, on pourrait en gros inonder complètement un peu plus de deux Montargis.
<Major Tom> Sans compter les animaux, bien sûr, mais là c'est incalculable.
<Axl> Merci Major.
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Sabrina : Dis moi le premier mot non juridique qui te passe par la tête. Sans réfléchir !
Sabrina : Pastèque
Chmartin : Arbre
Sabrina : Juliette
Chmartin : Castor
Sabrina : Blanchisserie
Chmartin : Barbare
Sabrina : Locomotive
Chmartin : Poussin.
Sabrina : Haha ! Maintenant on écrit une histoire avec ces éléments
Sabrina : Près d'un champ de pastèques ...
Chmartin : Il y avait un arbre solitaire, penché vers le sol.
Sabrina : Passant par là, Juliette ne pu s'empêcher d'être attendrie par cette triste créature
Chmartin : Son regard fut toutefois attiré par une petite créature qui troublait l'immobilité de l'horizon. Non, ce n'était pas un hobbit.
Sabrina : C'était un Castor ! Un petit castor arborant avec fierté sa petite chemise bleue à carreaux et ses nouveaux souliers verts.
Chmartin : En effet, sa mère travaillait à la blanchisserie du quartier, et jamais elle ne laissait son fils sortir de la maison avec des habits négligés.
Sabrina : Juliette demande au petit Castor : " Pourquoi cet arbre est il si triste ? Il doit avoir connu une bien malencontreuse aventure pour être si abattu "
Chmartin : Le castor, effrayé par la voix horrible de Juliette prit la fuite.
Sabrina : Juliette se saisit donc de sa hache ( une hache de poche qu'elle emporte toujours avec elle dans son sac à main ) et court après le petit castor malpoli, telle une barbare allant à l'assaut de ses adversaires !
Chmartin : Le castor, pris de panique en sentant la salive enragée de Juliette lui gicler dans le dos alors qu'elle respirait comme un buffle blessé, se jeta sous une locomotive.
Sabrina : Arrivé sur les lieux du drame, Sergent poussin , policier de son état dit " Pauvre castor, on peut dire que la locomotive lui a fait ... Barrage !"
Chmartin : Ahahah quelle belle histoire
Sabrina : Je pense qu'on devrait définitivement abandonner l'idée d'écrire un livre pour enfant ensemble cela dit ...
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Poutrelle : Bon, je réexplique pour ceux qui étaient absents
Jojou : préparez le popcorn, ça va etre épique :')
Poutrelle : c'était un samedi comme un autre, ma mère m'avait demandé d'aller acheter du café (très important pour la suite de l'histoire, ce café) à Monoprix (lieux du drame à venir) avec une carte de crédit bien précise (à l'origine dudit drame). Je prends le café (dernière boite du rayon), rejoins les caisses et choisis de passer à la caisse AUTOMATIQUE -choix décisif pour la suite de l'histoire, comme vous allez vous-memes le voir. Jusqu'ici, tout le monde comprend ?
Lilith : yep
Quartz : pareil
Jojou : tu peux continuer
Poutrelle : C'est juste après avoir scanné ladite boite de café que la première partie du drame est survenue : je passe ma carte, compose le code, attend un peu et là... rien. Le café reste affiché à l'écran de la caisse alors que je l'ai, de mon propre avis, déjà payé. Donc j'attends, puis me dis que ça doit etre un bug et m'apprete à quitter le magasin lorsqu'une caissière m'arrete en me disant que ma carte n'est pas passée.
Poutrelle : Très sympa, elle m'explique que ça n'a pas fonctionné, que la carte doit etre à sec et que ce n'est pas grave, bref, une personne ma foi très pédaguogue et gentille. Je retourne chez moi, un peu venere quand meme, et ma mère me file sa CB pour que j'y retourne - c'est qu'elle y tient, à son café - avec pour ordre de me le ramener, ainsi que de la Javel. Je cours jusqu'à Monoprix, donc, et là, deuxième partie du drame : MON CAFE S'EST FAIT KIDNAPPE !!! PLUS LA ! Y EN A PLUS !!!
Quartz : :O
Lilith : violent
Jojou : je pleure toujours à cette partie-là de l'histoire
Poutrelle : Hyper venere, je m'en vais aux caisses avec seulement de la Javel, et me dis que je vais laisser les caisses automatiques pour le moment pour plutot me tourner vers la compagnie humaine et o combien chaleureuse des hotesses de caisse. C'est à ce moment précis que la troisième partie du drame survient : la caissière sur qui je tombe est une putain de serial killeuse en puissance, Evil-Caissière en personne, et elle me traite ni plus ni moins de voleuse après m'avoir reprochée d'avoir été sur le point de partir sans payer et en laissant l'écran de la caisse automatique bloqué - ce qui n'était pas de ma faute. Choquée, je lui dis que c'est une méprise, que je n'avais pas compris ce qu'il se passait et que je pensais juste que ça allait se remettre tout seul après mon départ, et cette conne en profite pour réattaquer en disant que je viens d'avouer que je comptais partir sans payer. Elle a commencé à gueuler, et t'as le vigile qui s'est ramené pour voir ce qui se passait, elle lui a dit que j'étais une voleuse et le mec a demandé à voir mon sac, dans lequel se trouvait TOUJOURS la Javel, que je n'avais pas eu le temps de faire encaisser pour le moment.
Poutrelle : Là-dessus, t'as une autre caissière qui a prise ma défense, suivie de deux clients, mais Evil-Caissière avait elle aussi ses alliés, en l'occurrence le vigile, une collègue et le boucher du Monoprix. Bref, la Troisième Guerre Mondiale était enclenchée, et moi je me demandais comment j'allais me sortir de là.
Quartz : et finalement ??
Poutrelle : Ben j'ai fini au commissariat
Lilith : Evil-Caissière a porté plainte contre toi ? :O
Poutrelle : contre moi, non. Mais contre ma mère venue me chercher au magasin et la paire de gifles qu'elle lui a mise dans la gueule, oui.
Jojou : j'aime ta mère, Poutrelle x)
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