Quote n°15401 • Publié le 28-02-2014
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Un avion de ligne tombe à l'eau en plein Pacifique Sud. Trois survivants seulement : le pilote, un steward et une hôtesse. Ils s'accrochent aux débris qui flottent à la surface et, après une semaine de dérive, arrivent sur une île totalement déserte. Ils sont en dehors de tout couloir aérien et maritime. Ils savent qu'on ne les cherche plus car ils ont vu de loin le ballet des avions qui survolaient le lieu du crash. La vie s'organise. Ils se construisent une très belle cabane. La nature généreuse leur fournit viande, fruits, eau fraîche. Ils sont beaux, ils sont jeunes.
Après 2 mois, la jeune hôtesse se décide à parler aux deux autres :
- Ecoutez les amis. Nous sommes seuls. Peut-être pour toujours. Nous nous sommes toujours respectés, nous avons notre intimité, tout est très chouette, mais je sens que nous souffrons tous d'un certain manque. Je sais que vous n'osez pas m'en parler, alors je le dis moi-même : "Je suis d'accord. Il suffit de s'arranger, par exemple toi les jours pairs et toi les jours impairs ; et s'il y a n'importe quel problème, on en parle."
Enchantés d'avoir pu en parler et de s'être organisés, ils passent des semaines fabuleuses. Chacun à son tour, dans un respect et une entente exemplaire, l'un les jours pairs, l'autre les jours impairs. Malheureusement, après deux mois, la fille chope un virus foudroyant et meurt. C'est la catastrophe. Les deux autres sont terriblement tristes, mais la vie se réorganise et les jours puis les semaines passent. Après un mois, l'un des deux s'adresse à l'autre en lui disant :
- Ecoute, vieux, le temps passe, je sais que c'est dur pour toi comme pour moi, alors autant en parler. Je suis en manque, je suis jeune, ça ne peut pas continuer comme ça. Qu'est-ce que tu en penses ?
Et l'autre le remercie d'avoir osé en parler et tout de suite le rassure en lui disant que c'est la même chose pour lui.
- Tu penses comme moi alors ?
- Oui, je suis d'accord. Et si ça ne va pas, on en parle.
- D'accord. Comment on fait ? Toi les jours pairs et moi les jours impairs ?
- D'accord, on essaie.
Et ils passent à nouveau des semaines géniales. Mais un soir, l'un des deux dit à l'autre :
- Ecoute, on a dit qu'on en parlait si quelque chose n'allait pas. Eh bien, je trouve qu'il y a quelque chose qui ne va plus. On est seuls et en manque, d'accord, mais ce qu'on fait me gêne, c'est contre nature...
- Tu me rassures, dit l'autre, j'allais aussi t'en parler, j'aimerais qu'on arrête. De toutes façons, ce ne sont pas les mêmes sensations qu'avant...
- Tu es d'accord, alors ?
- Oui, et toi ?
- Oui
- Bon... on l'enterre alors ?
Que depuis que tu t'es t'en allée
Je ne t'ai jamais autant ôter ta culotte
Maintenant que t'es morte"
:)
Son état de manque le mène a deux de ces ancien amis Bernard et Yvonne qui tenais une maison close
Le l'ex-détenue lance a bernard "hey Bernard ça fait 5 ans que j'ai pas...
C'est possible que tu me fasse une offre je n'ai que 8$50"
Celui-ci répondit "je n'ai rien a ce pris la mais je pense faire quelque chose pour toi" il lui tend des clé et lui dit "c'est au dernier étage mais attention n'allume pas la lumière"
Notre détenue s'exécuta , il alla au derniers étage, puis redescendit.
Bernard attentionné lui dit "alors c'était comment ?"
Notre jeune en rûte lui dit "eh bien ça allait nickel mais au moment que j'ai fini.. Elle ma craché dessus"
Bernard stupéfait crie "Yvonne , il faut changé le cadavre !"